Au fil de l'AFP

Paris, capitale des sports vue par trois photographes de l’AFP

Sur une idée originale de Stefano Rellandini, rédacteur en chef adjoint photo France, l’AFP propose à ses clients une production exceptionnelle de photos d'athlètes français ayant pris la pose dans des sites célèbres de Paris et Versailles.

 

À quelques jours de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, l’AFP diffuse cette série de 25 portraits d’athlètes presque tous sélectionnés pour les Jeux de Paris dans les lieux les plus emblématiques de la capitale et de Versailles parmi lesquels : la Bibliothèque nationale de France, le musée du Louvre et celui d’Orsay, la Sainte-Chapelle, le bassin d'Apollon et la galerie des Glaces à Versailles.

« L’idée, c’était de les sortir du stade et de faire une visite touristique dans les lieux emblématiques de Paris », explique Joël Saget, un des trois photographes de l’Agence France-Presse qui ont réalisé ce projet aux côtés de Stefano Rellandini et de Franck Fife, photographe en charge de la couverture sportive.

 

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Outre le travail purement photographique, cette série a été rendue possible grâce à une savante gymnastique pour faire coïncider la disponibilité des sportifs en phase de sélection ou d’entrainement et les équipes de ces sites exceptionnels pour organiser les sessions tôt le matin, tard le soir ou le jour de fermeture sans négliger la météo.

« Ce sont des lieux d’exception et là, on les avait pour nous quelques instants. Il ne fallait pas se rater et faire la bonne photo. Ça rajoute une couche de stress », poursuit le photographe.

Ces trois photographes ont participé à toutes les séances photos, s'occupant de l’éclairage, de la mise en place ou de la prise de vue. Le but ? « Obtenir le meilleur résultat en un laps de temps très court. Chacun apportait ses idées », décrit Stefano Rellandini.

« La dernière fois que je suis venu au musée d’Orsay, ça devait être en sortie scolaire en CM2. Du coup, c’est un peu différent aujourd’hui », sourit Matthias Dandois, neuf fois champion du monde de BMX flat entre deux poses au milieu des statues.

« J’adore la collaboration entre un athlète et un photographe parce que nous, on a un avis assez tranché sur ce à quoi on veut que la photo ressemble. Le photographe aussi. C’est trop chouette de trouver un point au milieu où on se rejoint et de faire la meilleure photo possible », décrypte-t-il.